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Sécurité Renforcée : Cisco Éradique les Failles Importantes dans Expressway et ClamAV

Alerte Sécurité : Cisco Répond aux Vulnérabilités Majeures dans Expressway et ClamAV !

Nouvelles Essentielles en Sécurité Informatique : Cisco Répond aux Vulnérabilités Majeures dans Expressway et ClamAV

Dans le paysage dynamique de la sécurité informatique, chaque mise à jour et correction de vulnérabilités revêt une importance capitale pour la protection des données et des systèmes. Récemment, Cisco a fait un pas significatif dans cette direction en réagissant promptement à trois graves vulnérabilités de falsification de requêtes intersites (CSRF) dans sa passerelle de collaboration Expressway Series, ainsi qu’à une faille de déni de service (DoS) dans le moteur anti-malware ClamAV.

Les failles CSRF exposent les appareils vulnérables aux attaques d’acteurs non authentifiés, leur permettant d’effectuer des actions malveillantes via des liens spécialement conçus. Avec des scores critiques allant jusqu’à 9,8 sur l’échelle CVSS, ces vulnérabilités présentent un risque significatif pour la sécurité des données et de la confidentialité, affectant potentiellement des millions d’utilisateurs et d’entreprises qui comptent sur les solutions Cisco.

 

Dans un avis de sécurité récent, Cisco a mis en garde contre les conséquences potentiellement désastreuses de ces failles, soulignant l’importance cruciale d’une mise à niveau immédiate vers les versions 14.3.41 ou 15.0.01 pour les utilisateurs de la gamme Cisco Expressway version 14.0. Il est également crucial d’activer la protection CSRF pour renforcer la sécurité des systèmes et prévenir les attaques potentielles.

En ce qui concerne la faille de sécurité dans ClamAV, une boîte à outils anti-malware largement utilisée, la situation est tout aussi critique. Cette vulnérabilité, classée avec un score CVSS de 7,5, menace les systèmes Windows en raison d’une lecture excessive du tampon de tas. Les utilisateurs de Cisco Secure Endpoint Connector et du Secure Endpoint Private Cloud doivent effectuer une mise à niveau vers les versions recommandées pour éviter toute exploitation potentielle de cette faille.

En adoptant une approche proactive et réactive en matière de sécurité, Cisco démontre son engagement indéfectible envers la protection et la sécurité de ses utilisateurs. Cette réponse rapide et efficace aux vulnérabilités critiques souligne l’importance de la vigilance constante et de la mise à jour régulière des systèmes pour garantir une protection maximale contre les menaces émergentes.

Restez informés et protégés en suivant de près les mises à jour de sécurité de Cisco, car la sécurité de vos données et de vos systèmes est notre priorité absolue.

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Analyse des risques : comment le code open source impacte la sécurité des bases de code commerciales

Les risques cachés du code open source : Analyse approfondie

Une récente étude de synopsys, un leader dans le domaine de la cybersécurité, révèle une réalité inquiétante : près de 74 % des bases de code commerciales contiennent des logiciels open source présentant des vulnérabilités à haut risque. plongeons dans les détails de ce rapport éclairant.

Etat des lieux : Vulnérabilités en vue

Selon le rapport annuel « open source security and risk analysis » de synopsys, basé sur l’analyse de 1 097 audits de bases de code commerciales réalisés en 2023, une tendance alarmante se dessine. en effet, 96 % de ces bases de code auditées, couvrant divers secteurs, contiennent des logiciels open source. parmi celles-ci, 84 % présentent au moins une vulnérabilité, dont 74 % sont considérées comme des vulnérabilités à haut risque.

Facteurs contributifs : Comprendre les raisons

Cette augmentation significative des vulnérabilités à haut risque peut être attribuée à plusieurs facteurs. les récentes réductions de personnel dans le domaine de la sécurité, dues aux ralentissements économiques, ont laissé de nombreuses entreprises vulnérables. de plus, un nombre alarmant de composants open source dans ces bases de code utilisent des versions datées, rendant leur cybersécurité encore plus précaire.

Gestion de la sécurité : Un impératif

Mike Mcguire, responsable principal des solutions logicielles chez synopsys software integrity group, souligne l’urgence pour les entreprises de prendre des mesures pour remédier à ces vulnérabilités. il insiste sur le fait que la non-correction de ces failles peut conduire à des violations de données majeures, surtout pour les entreprises manipulant des informations sensibles.

La puissance de l’open source : avantages et défis

Bien que le rapport souligne les risques associés au code open source, mcguire met en avant les nombreux avantages de cette pratique. il affirme que l’open source a joué un rôle crucial dans la transformation numérique et le développement d’applications innovantes. cependant, il est essentiel que les entreprises gèrent correctement ces ressources pour éviter les failles de sécurité.

Les solutions proposées : une approche équilibrée

Synopsys recommande une approche équilibrée : tirer parti des avantages de l’open source tout en prenant des mesures proactives pour gérer les risques. une gestion efficace des correctifs et des solutions de contournement fournis par la communauté open source est essentielle pour atténuer ces risques.

Vers un avenir plus sécurisé ?

En fin de compte, ce rapport met en lumière l’importance cruciale de la cybersécurité dans un monde de plus en plus dépendant du code open source. il rappelle aux entreprises l’urgence de mettre en œuvre des stratégies robustes pour protéger leurs systèmes et leurs données contre les menaces numériques.

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Thyssenkrupp, le géant de l’industrie allemande, ciblé par un ransomware : une intrusion numérique sans précédent

Thyssenkrupp : Perturbé par un Ransomware, mais Toujours Debout

Le géant allemand de l’ingénierie et de la production d’acier, Thyssenkrupp, s’est retrouvé sous les feux des projecteurs après avoir confirmé une attaque de ransomware contre l’une de ses unités automobiles. Cette intrusion malveillante a jeté une lumière crue sur les défis croissants auxquels sont confrontées les entreprises industrielles dans un paysage numérique de plus en plus hostile.

L’Attaque de Ransomware chez Thyssenkrupp : Un Aperçu

La confirmation de l’attaque de ransomware chez Thyssenkrupp survient après un rapport du Wall Street Journal qui a mis en lumière la nécessité pour le sidérurgiste de mettre hors ligne plusieurs de ses systèmes informatiques en raison de signes d’intrusion malveillante. Un porte-parole de Thyssenkrupp a confirmé que l’attaque visait spécifiquement l’activité Automotive Body Solutions de l’entreprise, entraînant une perturbation significative dans la production en usine.

 

Réaction et Gestion de Crise

Thyssenkrupp a rapidement pris des mesures pour contenir la situation, qualifiant l’attaque de « sous contrôle ». Malgré les perturbations, l’entreprise s’est engagée à continuer de fournir ses services à ses clients. Cette réponse rapide reflète l’importance cruciale de la gestion de crise dans de telles situations, où la réactivité peut faire la différence entre une perturbation temporaire et des dommages irréparables.

Profil de Thyssenkrupp : Un Pilier Industriel Mondial

Avec son siège à Duisburg et Essen en Allemagne, Thyssenkrupp est l’un des principaux producteurs d’acier au monde, avec une présence mondiale à travers ses 670 filiales. Son rôle en tant que pilier de l’industrie mondiale en fait une cible particulièrement attrayante pour les cybercriminels cherchant à causer des dommages financiers et de réputation.

L’Évolution des Menaces Cybernétiques dans le Secteur Industriel

L’attaque contre Thyssenkrupp s’inscrit dans une tendance alarmante de plus en plus répandue : les attaques de ransomware ciblant les grandes entreprises industrielles. Les motivations derrière ces attaques vont au-delà du simple gain financier, avec des acteurs malveillants cherchant également à perturber les opérations critiques et à causer des dommages à long terme à la réputation des entreprises visées.

Impact sur l’Industrie et les Entreprises Connexes

Cette attaque met en lumière la nécessité pour les entreprises industrielles de renforcer leur cybersécurité et leur résilience face aux menaces numériques émergentes. Alors que Thyssenkrupp s’efforce de surmonter les défis posés par cette attaque, d’autres acteurs de l’industrie sont incités à évaluer et à améliorer leurs propres stratégies de sécurité informatique pour faire face à une menace qui ne cesse de croître.

Un Avertissement pour l’Avenir

L’attaque de ransomware contre Thyssenkrupp est bien plus qu’un simple incident isolé ; elle est révélatrice des dangers croissants auxquels sont confrontées les entreprises industrielles dans un monde de plus en plus connecté. Alors que la technologie continue de jouer un rôle central dans les opérations industrielles, la sécurité numérique doit être une priorité absolue pour garantir la résilience et la viabilité à long terme de ces entreprises.

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Vague de cyberattaques dévastatrices frappe le moyen-orient et l’afrique : le ransomware-as-a-service en action

Montée en Flèche des Ransomwares : Impact Croissant au Moyen-Orient et en Afrique

Dans le paysage cybernétique en constante évolution du Moyen-Orient et de l’Afrique (MEA), une tendance alarmante émerge : une forte augmentation des attaques de ransomwares, alimentée par les affiliés du Ransomware-as-a-Service (RaaS). Les données récemment publiées par le Group-IB révèlent une montée en flèche, avec des informations dérobées à 205 entreprises de la région apparaissant sur des sites de fuite de données de ransomwares, représentant une augmentation spectaculaire de 68 % par rapport à l’année précédente.

Les secteurs les plus ciblés par ces attaques sont les services financiers, l’immobilier et l’industrie manufacturière. Israël, la Turquie et la région du Golfe ont été identifiés comme les zones les plus touchées, avec respectivement 14, 12 et 8 attaques enregistrées l’année dernière.

 

Ce phénomène est alimenté par le modèle économique du RaaS, où les développeurs de ransomwares fournissent leurs logiciels malveillants à des affiliés, qui les déploient ensuite dans des organisations ciblées. Ces attaques sont souvent accompagnées de demandes de rançon, assorties de menaces de divulgation publique des données volées, ce qui expose les victimes à d’énormes risques de réputation et de pertes financières.

Une particularité de la région MEA est la diversité des pratiques et des normes de sécurité, créant ainsi des failles que les cybercriminels exploitent habilement. Christiaan Beek, directeur principal de l’analyse des menaces chez Rapid7, souligne que cette disparité rend certaines entreprises particulièrement vulnérables, les cybercriminels ciblant souvent les entreprises situées dans des pays où les normes de sécurité sont moins rigoureuses.

En outre, les menaces de ransomwares parrainées par l’État ajoutent une dimension supplémentaire à cette menace croissante. Les conflits géopolitiques exacerbent ces vulnérabilités, les organisations devenant souvent des cibles de perturbations ou d’accès aux données par des acteurs parrainés par l’État ou des groupes cybercriminels profitant de la situation, selon James Pickard, responsable des tests de sécurité chez IT-Governance.

Cependant, la cybersécurité n’est pas toujours une priorité pour certains pays de la région, en raison de défis économiques plus larges. Anna Collard, vice-présidente senior de la stratégie de contenu et évangéliste chez KnowBe4, souligne le manque de sensibilisation générale à la cybersécurité et de compétences en informatique et en cybersécurité comme des défis majeurs à surmonter.

Malgré ces défis, il est crucial de ne pas succomber aux demandes de rançon des cybercriminels. Les recommandations de Guy Golan, PDG de Performanta, soulignent la nécessité pour les gouvernements et les entreprises de mettre en place des processus robustes pour protéger les données sensibles et de sensibiliser les entreprises sur la manière de répondre correctement à une attaque de ransomware.

Ivan Pisarev, responsable du renseignement sur les menaces chez Group-IB, conseille également des investissements proactifs dans des mesures préventives et des stratégies de cybersécurité robustes. Il insiste sur l’importance d’une collaboration étroite entre les secteurs public et privé, ainsi qu’avec les organismes d’application de la loi, pour contrer efficacement la menace croissante des ransomwares dans la région.

Dans un paysage cybernétique où les attaques de ransomwares sont en constante évolution, la vigilance et la coopération sont essentielles pour protéger les entreprises et les données sensibles contre cette menace grandissante.

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Lenovo explore l’intégration de la micro LED transparente dans ses ordinateurs portables

Les ordinateurs portables transparents de Lenovo : Concept futuriste ou prochaine réalité​ ?

En 2010, Samsung a captivé le monde avec un prototype d’ordinateur portable transparent OLED, évoquant un avenir où la technologie fusionnerait harmonieusement avec le design. Cependant, malgré les spéculations sur sa sortie, ce rêve est resté dans le domaine du concept. Maintenant, 14 ans plus tard, Lenovo présente son propre concept d’ordinateur portable transparent, alimentant à nouveau les discussions sur l’avenir de la technologie portable.

Avant de plonger dans le monde de Lenovo ThinkBook, il est important de noter qu’il s’agit actuellement d’un concept exploratoire. Lenovo n’a pas annoncé de plans concrets pour la sortie de cet ordinateur portable. Cependant, les déclarations de Tom Butler, de Lenovo, à The Verge suggèrent un optimisme quant à l’avenir de ces technologies. Si elles deviennent réalité, Lenovo devra déterminer comment répondre aux besoins et aux désirs des consommateurs.

 

Le prototype présenté par Lenovo au MWC 2024 à Barcelone présente un écran Micro LED transparent impressionnant de 17,3 pouces, offrant jusqu’à 55 % de transparence avec les pixels éteints. Comparé aux tentatives antérieures avec des pourcentages inférieurs de transparence, cette avancée est significative. La technologie Micro LED promet également des améliorations notables en termes de luminosité et de qualité d’image par rapport aux écrans OLED et LCD traditionnels.

En ce qui concerne le design, Lenovo a également intégré un clavier à écran tactile, un trackpad, une caméra orientée vers l’arrière et Windows 11. Tout cela crée une expérience d’utilisation novatrice et immersive.

Pourtant, malgré ces avancées, une question persiste : à qui profiterait réellement un ordinateur portable transparent ? Les préoccupations concernant la confidentialité sont primordiales. La transparence de l’écran pourrait compromettre la sécurité des données, sauf si des mesures supplémentaires sont prises pour garantir la confidentialité des utilisateurs.

Le potentiel d’utilisation de cet ordinateur portable transparent reste flou. Lenovo évoque des cas d’utilisation tels que le dessin d’architectes sur site ou la visualisation d’informations à travers l’écran. De plus, l’intégration de l’intelligence artificielle ouvre des possibilités fascinantes, comme la reconnaissance d’objets et l’affichage d’informations pertinentes. Cependant, ces applications doivent encore être pleinement explorées et acceptées par le grand public.

Une autre limitation majeure réside dans la résolution de l’écran, qui reste inférieure aux normes actuelles. Cela peut compromettre l’expérience utilisateur, en particulier pour les tâches nécessitant une grande clarté visuelle.

Enfin, il y a la question du prix. Les technologies de pointe comme le Micro LED entraînent souvent des coûts élevés, ce qui pourrait rendre cet ordinateur portable inaccessible pour de nombreux consommateurs.

En conclusion, bien que le concept de Lenovo suscite l’enthousiasme et alimente la discussion sur l’avenir de la technologie portable, il reste encore des obstacles à surmonter avant qu’un tel produit ne devienne une réalité viable sur le marché grand public.

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Alerte du FBI : Pirates soutenus par Russie et Chine ciblent routeurs SOHO, incluant le vôtre !

Alerte Sécurité : Risques de Piratage des Ubiquiti EdgeRouters

Le FBI, en collaboration avec des partenaires internationaux, met en garde les propriétaires des Ubiquiti EdgeRouters contre les signes de piratage indiquant une utilisation malveillante orchestrée par des pirates russes. Ces dispositifs abordables, souvent déployés dans des environnements domestiques ou de petites entreprises, exécutent une version de Linux susceptible d’héberger des logiciels malveillants de manière clandestine. Les pirates exploitent ensuite ces routeurs pour dissimuler leurs activités malveillantes. Plutôt que d’utiliser des adresses IP et des infrastructures connues pour leurs activités hostiles, ces pirates masquent leurs connexions à travers des appareils apparemment légitimes, bénéficiant ainsi d’une apparence de fiabilité auprès des systèmes de sécurité.

 

Le FBI souligne que l’accès root accordé aux Ubiquiti EdgeRouters compromis offre aux acteurs malveillants, tels que le groupe APT28 soutenu par le GRU russe, un contrôle sans limite sur les systèmes d’exploitation basés sur Linux. Ces intrusions facilitent la dissimulation de leur identité et l’exécution de campagnes malveillantes à grande échelle. Les autorités ont récemment révélé une opération visant à éliminer discrètement les logiciels malveillants russes des routeurs, suivi de l’ajout de règles de pare-feu pour prévenir toute réinfection par APT28.

Les propriétaires d’appareils concernés sont vivement encouragés à prendre des mesures correctives immédiates, notamment la réinitialisation d’usine du matériel, la mise à jour du micrologiciel, la modification des identifiants par défaut, et l’implémentation de règles de pare-feu strictes. Ces actions sont essentielles pour contrer les activités d’APT28, qui utilisent les routeurs infectés depuis au moins 2022 pour mener des opérations secrètes dans divers secteurs et pays à travers le monde.

Les pirates exploitent les routeurs infectés pour collecter des informations sensibles, héberger des pages de destination malveillantes et exécuter des attaques post-exploitation. Les attaques précédentes ont révélé l’exploitation de vulnérabilités zero-day, telles que CVE-2023-23397 dans l’application Outlook de Microsoft. De plus, les autorités ont également observé des attaques utilisant des outils publics tels qu’Impacket ntlmrelayx.py et Responder.

Ces événements mettent en lumière le rôle persistant des routeurs dans les opérations de piratage d’États-nations, soulignant l’importance d’une vigilance continue de la part des utilisateurs finaux et des autorités. En outre, ces révélations récentes ont incité les agences à adopter une approche proactive pour supprimer les logiciels malveillants et à fournir des directives détaillées pour identifier et remédier aux compromis potentiels.

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Yelp : comment les changements de google pour se conformer aux règles de l’UE ont aggravé la situation

Yelp: Conséquences des Modifications Google sur la Conformité UE

Pour se conformer aux règles imminentes interdisant aux géants de la technologie de privilégier leurs propres services, Google a entrepris des tests sur de nouveaux résultats de recherche en Europe, couvrant les vols, trains, hôtels, restaurants, et produits. La loi européenne sur les marchés numériques (DMA) vise à donner un avantage aux petites entreprises sur Google, mais Yelp soutient que les modifications ont eu l’effet contraire : les utilisateurs sont moins enclins à cliquer sur Yelp ou ses concurrents.

Les résultats partagés par Yelp avec les régulateurs européens récemment montrent un soutien numérique aux plaintes des concurrents de Google dans le voyage, le shopping et l’hospitalité. Yelp et d’autres exigent une réglementation stricte pour les géants technologiques, souhaitant que l’UE fasse respecter le DMA avec rigueur.

 

Le PDG de Kelkoo, Richard Stables, critique la façon dont Google a ajusté les résultats de recherche pour se conformer au DMA, affirmant que cela maintient essentiellement le statu quo. Cependant, Google a répondu en apportant plus de 20 modifications aux résultats de recherche, offrant, selon eux, plus de visibilité à des services comme Yelp. Mais Yelp et d’autres entreprises s’inquiètent du fait que Google continue de favoriser ses propres services malgré les modifications.

 

Google estime que la DMA ne tient pas compte de son expertise en matière de préférences utilisateur. Cependant, les critiques, comme Yelp, allèguent que Google dirige souvent les utilisateurs vers son propre contenu au détriment de sources plus fiables. Yelp espère que l’augmentation du trafic européen pourrait stimuler ses activités, tandis que Google considère cela comme une intrusion dans sa capacité à fournir des services basés sur les préférences des utilisateurs.

Pour évaluer les changements, Yelp a collaboré avec Lyssna, une société de recherche sur les utilisateurs. Leur étude a révélé que la majorité des utilisateurs préféraient rester dans l’écosystème Google plutôt que de cliquer sur des résultats externes. Cependant, une variante du nouveau design, plaçant les sites Web d’avis au-dessus des résultats de Google Maps, a montré une meilleure acceptation des alternatives à Google. Yelp a suggéré que Google équilibre mieux les résultats pour une concurrence plus juste.

Les critiques des changements ont appelé l’UE à enquêter sur Google dès le début de l’application du DMA. Yelp exhorte les régulateurs à garantir que Google respecte pleinement le DMA, mais certains responsables européens estiment que les actions de Google ne correspondent pas encore aux attentes. La pression sur Google et d’autres géants technologiques pour se conformer au DMA augmente, car son application approche rapidement.

Les modifications de Google pour se conformer au DMA ont également suscité des inquiétudes parmi les concurrents dans d’autres secteurs, tels que le voyage et les achats en ligne. Skyscanner et d’autres sites concurrents ont été mécontents de la manière dont Google met en avant ses propres services, en contournant parfois les résultats de recherche équitables.

Alors que Google continue de tester de nouveaux designs et fonctionnalités, la question de la conformité au DMA reste cruciale pour l’équité sur le marché numérique européen. Les entreprises concurrentes, les régulateurs et les consommateurs observent de près les actions de Google, cherchant à garantir un traitement équitable pour tous sur les plateformes en ligne.

Dans l’ensemble, la mise en œuvre réussie du DMA pourrait changer la dynamique du marché numérique en Europe, en favorisant une concurrence plus juste et en offrant aux utilisateurs un accès équitable à une gamme de services en ligne. Cependant, cela dépendra en grande partie de la façon dont les entreprises technologiques comme Google ajusteront leurs pratiques pour se conformer aux nouvelles réglementations.

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Microsoft résout un bug autorisant Edge à copier les onglets Chrome sans consentement

Protection renforcée : Microsoft résout le problème de copie d'onglets Chrome dans Edge

Edge sous les projecteurs : Microsoft réagit face à une controverse sur l’importation non autorisée d’onglets Chrome.

La découverte par The Verge d’un comportement troublant dans Microsoft Edge a mis en lumière un problème de confidentialité préoccupant. En effet, sans consentement préalable, Edge importait automatiquement les onglets récemment utilisés sur Google Chrome.

Tom Warren, rédacteur en chef de The Verge, a été le premier à signaler ce problème après avoir constaté qu’Edge lançait les onglets de Chrome sur son ordinateur, sans qu’il ait activé cette fonctionnalité. Un paramètre énigmatique, caché sous l’appellation « Ayez toujours accès à vos données de navigation récentes », semblait être à l’origine de cette intrusion.

 

Microsoft a rapidement réagi en publiant un correctif, affirmant que ce comportement était involontaire. Cependant, cette explication soulève des questions quant à la transparence de l’entreprise concernant ses pratiques de collecte de données.

Cette controverse intervient alors qu’Edge, malgré ses efforts, peine à rivaliser avec Chrome sur le marché des navigateurs. Alors que Chrome détient une part de marché écrasante de 64,41 %, Edge ne représente que 5,36 %. Cette tentative d’attirer les utilisateurs vers Edge semble refléter les stratégies agressives de Microsoft pour promouvoir ses produits.

Néanmoins, avec ce correctif, Microsoft tente de restaurer la confiance de ses utilisateurs en garantissant une expérience de navigation plus respectueuse de la vie privée. Reste à voir si cela suffira à dissiper les doutes et à redonner à Edge sa crédibilité sur le marché hautement concurrentiel des navigateurs web

Microsoft amorce les essais de Windows 11 24H2 tandis que la majeure évolution de cette année se dessine

Microsoft teste Windows 11 24H2 tandis que l'évolution annuelle prend forme

Plongez au cœur de la transformation avec la prochaine mise à jour de Windows ! Découvrez les secrets bien gardés de Microsoft alors qu’ils amorcent un changement audacieux plus tôt que prévu. Les versions préliminaires dévoilées sur les canaux Canary et Dev font déjà sensation avec leur étiquette « 24H2 », promettant un avant-goût exaltant de ce qui nous attend cet automne.

La 24H2 de Windows 11 réserve des surprises de taille. Imaginez, l’arrivée tant attendue de Sudo pour Windows, une révolution pour les aficionados de Linux/Unix, s’invitant dans l’univers Windows. Mais ce n’est que le début ! Une multitude de fonctionnalités inédites se profile à l’horizon, de l’amélioration des aides auditives à la création simplifiée d’archives via l’Explorateur de fichiers. Ajoutez à cela un mode d’économie d’énergie et des ajustements du protocole SMB, et vous obtenez un cocktail d’innovations à couper le souffle.

La grande nouvelle ? Certaines de ces fonctionnalités pourraient même débarquer sur votre PC avant la fin de l’année ! Une rupture avec la tradition pour Microsoft qui, habituellement, distille ses mises à jour tout au long de l’année. Le suspense est à son comble alors que la société revient avec une stratégie de numérotation inédite en « 24H2 », annonçant une mise à niveau d’envergure.

 

Mais ce n’est pas tout. Les coulisses de Windows 11 révèlent un bouillonnement d’idées et de changements. Des signaux indiquent que Microsoft revisite en profondeur des éléments clés comme les écrans de configuration, hérités de l’ère Vista. L’ambition ? Réinventer votre expérience utilisateur pour la rendre plus immersive que jamais.

Et que dire de Windows 12 ? Les spéculations vont bon train. Pour certains, la mise à jour 24H2 est un signal clair : Windows 12 ne verra pas le jour cette année. Mais Microsoft reste muet sur le sujet, alimentant les rumeurs et la fascination des observateurs de l’industrie.

Quant à l’intelligence artificielle, elle se dessine comme l’avenir de Windows. Si les bruits de couloir évoquent des PC IA révolutionnaires, Microsoft reste évasif. Pourtant, avec les avancées technologiques récentes, Windows pourrait bien réinventer notre interaction avec nos appareils.

En somme, l’excitation est à son comble ! La 24H2 de Windows 11 marque le début d’une nouvelle ère, pleine de promesses et de défis. Restez à l’affût pour ne rien manquer de cette aventure épique qui redéfinira à jamais votre expérience numérique.

Cyberattaque sur AnyDesk : Piratage des Serveurs de Production !

AnyDesk compromis par des pirates ! Vol de code source et certificats

Une alerte majeure secoue actuellement l’univers de la prise en main à distance avec AnyDesk. Des pirates ont réussi à s’infiltrer dans l’infrastructure de production de cette solution, mettant ainsi en péril la sécurité des données sensibles stockées sur ses serveurs. Les conséquences de cette attaque sont préoccupantes, puisque les hackers ont réussi à dérober le code source ainsi que les certificats de signature du code. AnyDesk, connu pour être une alternative populaire à TeamViewer, est largement utilisé par les entreprises, en particulier dans le domaine du support informatique. Cette solution permettant un accès à distance aux postes de travail et aux serveurs, sa compromission soulève des inquiétudes quant à la sécurité des données sensibles des utilisateurs.

Dans son communiqué officiel, AnyDesk reconnaît la gravité de la situation et affirme avoir activé immédiatement son plan de réponse à incident dès la détection de l’intrusion. Collaborant avec la société spécialisée en sécurité informatique CrowdStrike, AnyDesk a entrepris une analyse approfondie pour évaluer l’ampleur des dégâts et réagir en conséquence. Parmi les mesures prises, la révocation des certificats compromis et la restauration des systèmes impactés ont été mises en place dans les plus brefs délais afin de limiter les conséquences de l’attaque.

Malgré cette réactivité et les assurances de la part d’AnyDesk concernant la maîtrise de la situation, les utilisateurs demeurent légitimement préoccupés quant à la sécurité de leurs données. AnyDesk tient toutefois à souligner que les jetons d’authentification de session, éléments clés de la sécurité des échanges, demeurent intacts et ne peuvent être détournés. Ces jetons sont conçus pour ne pas entrer en contact avec les systèmes d’AnyDesk, garantissant ainsi leur inviolabilité.

Dans ce contexte, il est vivement recommandé aux utilisateurs d’AnyDesk de prendre plusieurs mesures de précaution. Tout d’abord, il est impératif de mettre à jour le logiciel vers la dernière version disponible, signée avec un nouveau certificat de signature de code afin d’éviter toute exploitation des failles de sécurité. De plus, bien que AnyDesk assure que les mots de passe n’ont pas été compromis, il est conseillé de les changer par mesure de précaution. Enfin, cette cyberattaque rappelle l’importance de la vigilance face aux menaces en ligne et met en lumière les risques liés à l’utilisation des solutions de prise en main à distance, régulièrement ciblées par les cybercriminels.

En somme, cette attaque contre AnyDesk souligne l’urgence de renforcer la sécurité des solutions de prise en main à distance et appelle à une vigilance accrue de la part des utilisateurs pour protéger leurs données sensibles.